Le paradoxe de l’onboarding : “On sait que c’est bancal… mais on va bricoler encore un peu.” Pas optimisé. Pas personnalisé. Pas mesuré. Mais comme ça a toujours plus ou moins fonctionné, on accepte les pertes. → Un départ sur deux ? C’est le jeu. → Un salarié qui rame pendant 3 mois ? C’est normal. → Un manager qui improvise ? C’est la culture maison. Et pourtant, l’onboarding est l’un des rares moments où • le salarié est ultra-réceptif, • l’entreprise peut créer un effet “waouh”, • et les erreurs coûtent cher (temps, image, turnover, productivité). 📊 45% des démissions ont lieu durant la première année. Et une grande partie dans les 100 premiers jours. Tout se joue là. Et malgré ça… on continue à bricoler. Chez JumpBoard, on a décidé de ne plus accepter ce paradoxe. On le démonte. On le mesure. On le personnalise. Et on le transforme en levier business. On reconstruit l’onboarding à partir du terrain, des vrais usages, et des signaux faibles. Là où les autres proposent des checklists, nous créons des expériences. Là où les autres automatisent, nous personnalisons à l’échelle. Quand l’expérience est repensée, les collaborateurs restent, s’impliquent… Et le service RH et les managers respirent enfin. Chez vous, c’est quoi un onboarding réussi ? ⸻ Ex-chasseur de têtes Sales C-level ➡️ Je construis JumpBoard Une IA contextuelle et évolutive qui personnalise l’onboarding pour accélérer l’intégration des nouveaux talents. Je documente cette aventure en build in public : les coulisses, les avancées, les ratés, les surprises… ➡️ Et si tu veux partager ton propre onboarding raté (anonymement), je t’écoute.