Vous envoyez un questionnaire de satisfaction onboarding à J+30.
Le nouveau répond : « Tout va bien 😊 »
Il part 3 semaines plus tard.
Vous vous êtes fait avoir.
Vos questionnaires ne mesurent pas l’onboarding.
Ils mesurent la peur
Pourquoi ?
↳ Asymétrie de pouvoir : le nouveau dépend entièrement de son manager.
↳ Période d’essai : test permanent.
↳ Pression de performance dès J1 : difficile d’avouer la moindre difficulté.
« Satisfait de ton intégration ? »
Le nouveau pense : « Si je dis non, ça va me retomber dessus. »
Et il se fait le même film intérieur pour toutes les autres questions.
Résultat :
100 % de réponses positives.
0 % de vérité.
Les vrais signaux d’alerte sont ailleurs :
→ Il ne pose aucune question
→ Il déjeune seul
→ Il n'interagit sur aucun canal informel (Teams, pauses, déjeuners)
Ces signaux, un formulaire ne les capte pas.
Ils apparaissent via :
✓ l’observation terrain
✓ des 1‑1 hors manager
✓ un buddy qui remonte les vraies difficultés
Avant d’envoyer votre questionnaire, demandez‑vous :
« Va‑t‑il vraiment oser dire qu’il galère ? »
Si la réponse est non, vous ne mesurez pas votre onboarding.
Vous mesurez le silence.
⸻
JumpBoard | Onboarding structuré ETI multisites (10-200 sites)
Ex-chasseur de têtes C-Level → J'ai vu le coût réel d'un mauvais onboarding
Le coup de pied aux fesses des RH old school • On fait matcher freelances RH & PME 🤙🏻
15 hours ago
Des réponses vertes partout et pourtant un départ rapide. Le signal était là, simplement pas au bon endroit. Mesurer le silence comme un indicateur RH change clairement la donne 🤸